dimanche 21 septembre 2014

Nicolas Sarkozy propose une «alternative collective»


Air Max Rassurer et rassembler. Nicolas Sarkozy a eu quarante minutes hier pour compléter le message d'annonce de son retour, rendu public par Internet deux jours plus tôt. Il a d'abord hésité avant de confirmer son intervention télévisée de dimanche, mais il n'a pas voulu laisser le week-end se terminer sur les déclarations de ses deux adversaires politiques du moment, à droite, François Fillon et Alain Juppé.«Cela donne une fausse impression de “guerre des chefs”», commente l'un de ses fidèles. Nicolas Sarkozy veut apparaître en pacificateur, pas en guerrier. D'Alain Juppé, il a donc affirmé: «Je le connais depuis que j'ai 20 ans», comme s'ils étaient de vieux amis, et de François Fillon, il a dit: «Nous avons travaillé sans aucun nuage», en assurant qu'il voulait convaincreses «amis» que «les querelles d'ego sont stupides».
«Il faut essayer d'apaiser», Nike Tn a d'emblée affirmé l'ex-président sur France 2 en tirant les leçons de son quinquennat, où il a regretté d'avoir utilisé «parfois les mauvaises expressions». Tout au long de son échange avec Laurent Delahousse, Nicolas Sarkozy a voulu se placer au-dessus des clivages, et surtout paraître le moins conflictuel possible. Les «vieux compartiments politiques sont dépassés», a-t-il glissé. Non sans défendre deux «marqueurs»: libéral sur le plan économique, avec une charge contre le poids excessif de la fiscalité, et conservateur sur le plan sociétal, avec une remise en cause de Schengen et de ses conséquences sur les flux migratoires. Il affirme ainsi vouloir proposer «une alternative collective» pour le pays. Nike Tn Pas Cher Il veut prouver qu'elle est possible en s'appuyant sur des référendums chaque fois que des réformes feraient l'objet d'un blocage.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire