Les autorités américaines s'interrogent sur les Nike Requin activités d'un ancien Taliban de Guantanamo échangé en mai dernier contre un sergent américain, otage en Afghanistan pendant cinq ans.
Ce n'était pas prévu dans l'accord, les autorités américaines suspectent l'un des cinq Talibans de Guantanamo libérés en mai dernier contre le sergent Bowe Bergdahl d'avoir repris des activités terroristes. Des suspicions qui ont aussitôt été démenties par le Qatar chargé d'accueillir les cinq talibans durant un an, de veiller à leur interdiction de voyager ainsi qu'à l'application d'autres mesures de sécurité classifiées.
«Ils vivent conformément à l'accord que nous avons signé avec les États-Unis», a déclaré lundi Khaled Al-Attiya, le ministre des affaires étrangères qatari. La chaîne d'information CNN a pourtant rapporté la semaine dernière que des responsables du renseignement américains soupçonnaient l'un des cinq anciens détenus de Guantanamo d'être entré en contact avec des talibans en Afghanistan. Le porte-parole du Pentagone, le TN Requin contre-amiral John Kirby, avait alors déclaré que les États-Unis avaient «communiqué» avec le Qatar sur l'incident, et indiqué que «des mesures adéquates étaient en train d'être prises».
«Bowe Bergdahl is not a hero»
Bowe Bergdahl, un Américain de 28 ans né dans l'État de l'Idaho, avait été capturé le 30 juin 2009, deux mois environ après son arrivée sur une base américaine de la province de Paktika, dans le Sud-Est afghan. Les circonstances de son enlèvement demeurent aujourd'hui encore mystérieuses. Certaines sources affirment qu'il se serait enfui de son unité, d'autres qu'il aurait été capturé aux toilettes. En 2012, le magazine américain Rolling Stone avait publié ce qui était alors présenté comme des mails envoyés par Bowe Bergdahl à sa famille, où celui-ci confiait ses désillusions Nike TN face à la mission américaine en Afghanistan et évoquait une.
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