Au lendemain de la publication de la tribune

Nike TN Au lendemain de la publication de la tribune «Nous, femmes journalistes en politique…», plusieurs voix se sont élevées pour les soutenir et appuyer les révélations sexistes dont elles sont victimes en nombre. Lundi soir, sur Twitter, le jeune député PS Olivier Dussopt a été l'un des premiers à réagir.

👍 bravo! https://t.co/DmBg4yov5U — Olivier Dussopt (@olivierdussopt) 4 Mai 2015

Les femmes, députées, ministres, ont été les plus nombreuses à soutenir l'initiative des 40 journalistes signataires.

TN Requin Dénoncer le sexisme c'est déjà le combattre. Les femmes ne sont pas des proies. Elles veulent l'égalité et le respect pic.twitter.com/ywOWqMqsEp — Pascale Boistard (@Pascaleboistard) 5 Mai 2015

Soutien à toutes les femmes qui combattent & subissent le sexisme, en particulier aux 40 courageuses du jour : http://t.co/dnAY42PfzM — Najat Belkacem (@najatvb) 5 Mai 2015

Ça claque ! Merci Mesdames... RT @Bekouz «Nous, femmes journalistes en politique…» http://t.co/IvlILd8gBz via @libe #sexisme #directAN — Cécile Duflot (@CecileDuflot) 4 Mai 2015

Merci aux 40 journalistes qui osent dénoncer le sexisme rampant en politique http://t.co/cmrwch1EEe via @libe @laurebretton — Valérie Fourneyron (@vfourneyron) 5 Mai 2015

@Bekouz Bravo pour la tribune, il fallait du courage. TN Pas Cher Même si le choix de la faire dans Libé est contestable... #sexisme — Barbara Pompili (@barbarapompili) 4 Mai 2015

Les hommes ont eux aussi pris part au débat. Parmi eux, on compte le président PS de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, le député du Nord Bernard Roman, le député européen écologiste Pascal Durand, le maire du IVe arrondissement de Paris, Christophe Girard, ainsi que Thierry Mandon, secrétaire d'Etat à la Réforme de l'Etat, Daniel Goldberg, député de Seine-Saint-Denis, ou encore Bruno Le Roux, chef de fil des députés socialistes à l'Assemblée nationale (à voir à partir de 1'54).

Ce dernier est le seul à avoir explicitement appelé les journalistes à publier les noms des hommes politiques cités dans la tribune, se justifiant ainsi : «Il y a des choses inadmissibles, il est bon de les dire, et il est bon aussi de dire de qui ça vient.»