les demi-finales de la Ligue des champions présentent un carré de rêve

Nike Tn Pas Cher Le plateau fait rêver. Avec le Real Madrid, le Bayern Munich, le FC Barcelone et la Juventus, les demi-finales de la Ligue des champions présentent un carré de rêve. Que du lourd. Et des équipes au passé prestigieux. Au total, ces quatre géants du football européen pèsent 21 titres de champion d'Europe. Qu'importe le tirage au sort, il y a aura des affiches de rêve.

Sur le papier, il est difficile de voir un favori net et précis. La Juventus Turin pourrait cependant être considérée comme l'adversaire le plus abordable pour les trois autres. Son groupe est le moins expérimenté des quatre en Ligue des champions. Son dernier passage en demi-finales de la C1 remonte à 2002-2003 et depuis 2006, la Vieille Dame n'avait été qu'une seule fois en quarts de finale (2012-2013) avant cette année. Mais le triple champion d'Italie possède également de sérieux arguments et n'est pas là par hasard. Ainsi, comme chaque club a son passé qui peut le hanter ou un style de jeu qu'il préfère affronter, on a imaginé quel adversaire pourrait lui poser le plus de contrariétés.

Cheap Jordan Shoes Vous vous souvenez de l'édition 2012-2013 ? En Catalogne, c'est un traumatisme. Les Blaugrana sont encore marqués par leur demi-finale de Ligue des champions face au Bayern Munich. Les deux confrontations s'étaient conclues par deux claques sévères (4-0, 0-3). Depuis, les choses ont bien sûr évolué. Le Bayern a changé, le Barça aussi et possède d'autres armes. Mais en face, il y a maintenant Pep Guardiola. Et qui connaît mieux Lionel Messi et le Barça que Guardiola ? Pas grand monde. Historiquement, le Bayern est en plus, et surtout, la formation du plateau contre qui les Barcelonais présentent le pire bilan : 1 victoire, 3 nuls et 5 défaites… Voilà beaucoup de choses qui pourraient trotter dans la tête des Catalans.

Le Bayern Munich de Pep Guardiola était tombé de très haut. La saison passée, le club bavarois avait subi une véritable désillusion en se faisant sortir sèchement par le Real Madrid  en demi-finales (1-0, 4-0). Le Real de Carlo Ancelotti avait alors prouvé les limites de ce Bayern. Depuis, le champion d'Allemagne a su relever la tête pour repartir de plus belle. Retrouver le Real sera l'occasion de prendre sa revanche, mais obligerait aussi les Bavarois à se poser beaucoup de questions et pourrait mettre quelques doutes dans la tête de Thomas Müller et compagnie.

Pour la Juve, récupérer le FC Barcelone ou le Bayern Munich, ça ne serait pas vraiment une bonne nouvelle. Pour le jeu, déjà. Le Bayern Munich et le FC Barcelone proposent le visage le plus séduisant de ces demi-finalistes. La Juve risque de souffrir. Et en terme de talents purs, les Bianconeri ne font pas le poids non plus, surtout si Pogba n'est pas remis. Pourquoi en revanche, mettre alors uniquement le Barça ? Car le club blaugrana aime croiser le chemin de Massimiliano Allegri. Le nouvel entraîneur de la Juve s'est fait sortir deux saisons de rang par les Catalans quand il était sur le banc de l'AC Milan - en quarts de finale de l'édition 2011-2012 et en 8es en 2012-2013 -. Il n'a pas l'air d'avoir la clef pour contrer les Messi and co. Mais qui l'a ?

Oui, cela peut surprendre. Beaucoup, à Madrid, croisent les doigts pour voir le Real Madrid tirer la Juventus, ce midi à Nyon. Et pourtant, ce ne serait pas forcément une bonne nouvelle. Le Real est une équipe redoutable en contre-attaque. Grâce au talent et à la vitesse des joueurs comme Cristiano Ronaldo et Gareth Bale ou encore à la qualité de relance de Toni Kroos, elle excelle dans la verticalité quand une formation lui laisse un peu d'espace.

Or, si le Barça et le Bayern aiment faire le jeu, Nike Tn Pas Cher la Juventus sait se montrer patiente, fermer les espaces et pourrait tenter de s'inspirer de l'Atlético Madrid, qui a failli réussir son coup face au Real en quarts. Cette saison, la formation bianconera est "plus expérimentée et plus clinique. Les Turinois ont appris à gérer le rythme en attendant les opportunités favorables", nous avait ainsi confié Mattia Fontana, notre collègue italien d'Eurosport.it. Cette opposition ne serait donc pas forcément idéale pour un Real qui se présenterait avec un statut de favori et devrait se méfier du complexe de supériorité.